Au-delà des symptômes du type « je ne me sens pas légitime » ou « j’ai réussi seulement parce que c’était un coup de chance », ce sentiment d’imposture se cache aussi derrière d’autres comportements :
Le comportement de « rigolo »
Vous vous dissimulez derrière un rôle de « rigolo » de service pour dissimuler le fond de votre pensée (et être ainsi « sûr » de ne pas être dévoilé)
Le bourreau de travail (ou insécure Overachiever)
Vous travaillez comme un fou, vous avez le sentiment que ce n’est « jamais assez ». Vous vivez dans un sentiment d’insécurité permanent par peur que votre supposée « incompétence » ne soit découverte.
Le pilier du monde
À force d’avoir voulu démontrer que vous étiez capable de tout faire et de tout supporter vous finissez par faire un burn-out (ou plusieurs à la suite). Vous vivez sous le joug de l’injonction « sois fort.e » sans réussir à faire autrement.
Le faux-humble (ou humble à l’extrême)
Pour vous, recevoir un compliment relève de l’impossible. Après tout, vous n’avez « rien fait » de spécial. Vous n’arrivez probablement pas valoriser vos talents et votre expertise à votre juste valeur, tant le sentiment d’imposture est puissant en vous.
Le frustré de l’effort
Pour certains, le fait de devoir fournir un effort tandis que jusqu’alors tout était facile vous font complètement douter de vos capacités. Au point de croire que vous êtes un imposteur de haut vol.
Le super héros
Par ailleurs, un signe que je remarque souvent, c’est la difficulté à demander de l’aide. En effet, cela risquerait de mettre au jour votre imposture et un douloureux aveu d’échec.
Alors, vous vous reconnaissez dans plusieurs de ces caractéristiques ?
Si c’est le cas, il est fort probable que vous souffriez du syndrome de l’imposteur.
Pour vous aider à faire le point sur ce sujet, je partage cinq pistes concrètes afin de
aider à surmonter le syndrome de l’imposteur. Ce sont ces pistes que je propose à mes clients qui arrivent avec ce sentiment.